16 févr. 2017

Xavier Dolan, joli mec et beaux cadrages - Le plan Q(ulture).

















Hallo les kids,
Ptdr je suis la blogueuse la moins sérieuse au monde, je sais, mais bon, on est pas tous EnjoyPhoenix, ici y en a qui bosse et croyez moi, aller en cours lorsqu'on est crevé, qu'on a ses règles et que EN PLUS on est entouré d'une bande de vieilles fouines idiotes qui vous servent de camarades, c'est très dur, vraiment. Du coup le soir quand je rentre, j'avoue que je n'écris pas d'articles, je suis plutôt du genre à me mater un petit film en mangeant des chips au vinaigre. Et du coup (hop là, transition incroyable sous vos yeux ébahis mesdames et messieurs) aujourd'hui je vous ai prévu un article béton-très-long sur l'amour de ma vie, Xavier Dolan.





















(regardez donc mes bébés, comme ils sont beaux) Xavier Dolan, donc. Qui n'en a jamais entendu parlé (sérieux ? Meuf, tu vis où... Le journal, le ciné, je sais pas moi, tout de même...) Enfin bref, Xavxav, 27 ans, québécois avec un accent so hot à se rouler par terre (comment ça je fangirl) est un réalisateur à temps plein, et parfois il peut aussi être acteur ou mannequin, normal vu sa gueule d'ange. Son premier film, J'ai tué ma mère, en 2009, le révèle au cercle des amateur, mais il est découvert par le grand public en 2014 avec Mommy. Aujourd'hui, il compte six longs métrages, et le septième va sortir cette année, et, sans surprises, j'ai grand hâte de le voir.


















Le cinéma de Dolan, donc. Je ne sais pas vraiment quoi vous en dire, vu que moi j'en suis fana. C'est toujours assez particulier, puisqu'il choisi de parler de sujets sensibles : l'homosexualité, les maladies (mentales ou mortelles), les rapports compliqués avec les parents.. Ca pourrait être très sombre, mais ça ne l'est pas. C'est dur par moment, évidement, mais il a quelques petites techniques qui vont l'aider à rendre son film magique : la lumière, déjà. Il y a un travail de la lumière, dans chacune de ses œuvres, absolument incroyable (et ça, ma maman le dit aussi, alors vous voyez je n’invente pas). Pour celleux qui ont déjà vu certains de ces films, je pense notamment à la scène finale de Juste la fin du monde, avec l'oiseau, c'est tellement beau, c'est si simple et en même temps ça en dit tellement.. Le talent.


















La lumière, donc. Et ensuite ? Ses goûts musicaux, qui se traduisent en bandes-sons éclectiques et très pointues, y sont aussi pour beaucoup. Pareil, j'ai pas envie de vous spoiler, mais oh my God ! Il y a des moments dans ses films où une musique est lancée et je te jure, tu as juste envie de te lever de ton siège pour dire "mais putain c'est juste parfait c'est ce que j'aurais mis aussi ! Vingt sur vingt bravo !". Et je ne te parle même pas des sons qu'il va te faire découvrir. True story mais je me suis déjà fait virer de soirée parce que j'avais réquisitionné l'enceinte pour y mettre ma playlist "Xavier Dolan" (c'est vrai que c'est très bon, mais des fois... Ca ne fait pas bouger un max, si t'es pas dans le mood quoi).

















Voilà, c'est la fin de ma thèse intitulée "En quoi Xavier Dolan est-il littéralement un Dieu vivant ?", si vous n'avez toujours pas envie de vous ruer à la Fnac pour y acheter le coffret intégral de ses oeuvres, sachez que je ne répond plus de rien. J'ai bien conscience que par moment cet article peut sembler avoir été rédigé par une jeune fille de douze ans (appareil dentaire et acné juvénile inclut), mais ce réalisateur est réellement plein de talent, et ses films sont réellement beaux, poétiques et transcendants. Si vous souhaitez en savoir un peu plus sur lui, je vous laisse ces quelques liens : une interview qu'il a fait pour Télérama // Blow-Up (une émission d'Arte) sur son oeuvre musicale.


















Allez hop là, c'est fini pour aujourd'hui mais je reviens vite c'est promis, en attendant restez cools et on se capte asapp !
Takk & Tschüss




Brune

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